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21 août 2019 3 21 /08 /août /2019 00:27

En cours, Faut que m'y remette à ce blog, j'ai le temps maintenant

5 juillet 2016 2 05 /07 /juillet /2016 17:50
Nouvelle Zélande
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Nouvelle Zélande
Nouvelle Zélande
Pas beaucoup d'espèces d'oiseaux en Nouvelle Zélande, surtout si l'on fait abstraction des oiseaux marins. Normal car c'est un pays un peu isolé. Donc des espèces endémiques essentiellement, quelques espèces d'émigration relativement récente en provenance d'Australie et des espèces importées par l'homme comme le colin de Californie par exemple. D'autres se sont éteintes sous la pression de la chasse avant même l'arrivée des blancs. par contre le takahé du sud qui passait pour éteint a été redécouvert dans un fjord isolé. Les Kiwis sont des nocturnes donc difficiles à voir, le meilleur représentant serait à mon sens le méliphage tui, omni présent, assez bruyant et quelque peu effronté et pouvant imiter de nombreux sons.
30 juin 2016 4 30 /06 /juin /2016 17:50
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Séjour itinérant au Québec, Nouveau Brunswick, Nouvelle Ecosse et Terre-Neuve, Juin et Juillet 2014

10 mai 2016 2 10 /05 /mai /2016 20:39

Un paradis pour les photographes animaliers.

Beaucoup de parcs nationaux, animaux peu farouches et grande diversité.

Costa Rica
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28 mai 2015 4 28 /05 /mai /2015 16:45
Album
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Il me fallait prendre mes congés dans cette période pour des raisons professionnelles.

En cette saison l’hémisphère sud est tout de même plus accueillant. On hésite entre la Nouvelle Zélande et l’Argentine jusqu’au dernier moment : finalement ce sera l’Argentine, les 30 et quelques heures d’avion plus le trajet Cayenne Paris pour l’autre destination nous ont un peu démotivés.

Evidemment on a quasiment rien préparé, comme d’habitude, si ce n’est emprunté un guide du pays, acheté une carte Michelin et loué une voiture pour 4 semaines. On se dit qu’on aura le temps de potasser le guide pendant les 13 heures du trajet Paris Buenos Aires.

On a fait le choix de passer par Paris plutôt que de faire des sauts de puces en Amérique du sud (30 heures et 2 nuits en prime) et puis nous avions à faire sur Paris.

Arrivés à Buenos Aires on prend en charge notre voiture et on file direct au nord. En fait dans l’avion on n’a pas ouvert une seule page du guide. Je sais c’est mal. Il y a surement des choses à voir à Buenos Aires alors on verra à la fin du séjour… .

Au nord parce qu’on se dirige sur les chutes d’Iguazu, c’est un des seuls sites dont on a vraiment entendu parler alors on y va.

Toucan toco

Toucan toco

Sur le trajet, plutôt long d’ailleurs, 1300 km on commence à découvrir ce pays. Je regrette mon GPS : les routes sont mal indiquées. On est souvent obligés de demander notre chemin. Les Argentins sont plutôt sympas, mais on a tous les deux choisi anglais allemand au lycée… .

Par contre je ne regrette pas le choix de location d’une voiture. D’abord on est autonome et puis il y a beaucoup d’oiseaux au bord de la route. En fait la plupart de mes photos d’oiseaux seront prises en bordure ou à proximité de la route.

Le site d’Iguazu est superbe, prévoir 2 jours (le 2° jour c’est moitié prix) surtout pour les ornithos car il y a à voir : entres autres une bande de toucan toco qui a l’air active, ou alors j’ai eu de la chance. En prime des singes et des coatis.

Ensuite nous nous dirigeons sur la Cordillère des Andes, traversée du pays horizontale. Les distances sont longues, les paysages parfois monotones : cultures essentiellement. C’est la même chose qu’en Amérique du nord, au centre les grandes plaines cultivées. Heureusement quelques zones marécageuses de temps en temps. Et des locataires intéressants : Jabirus, cigogne Maguari, tantales d’Amérique et bien d’autres, certains sont présents en Guyane mais je ne les ai encore jamais rencontrés. On a vraiment un problème avec la chasse en France… .

Jabiru d'Amérique

Jabiru d'Amérique

Les étapes dans les petites villes sont toujours agréables. Toujours une place centrale carrée proprette ou cohabitent de nombreuses essences d’arbre. Les Argentins aiment à y flâner le soir. Nous aussi.

Nous voici au pied de la Cordillère. Evidemment les paysages deviennent très chouettes. Nous déboulons sur la route 40 qui s’étend nord sud sur quelques milliers de kilomètres. Apparemment les Argentins essayent d’en faire une route un peu mythique, genre route 66.

C’est OK pour nous, cette route passe dans ou à proximité de nombreux parcs nationaux lovés sur les contreforts des Andes. En prime quelques sites Incas. Je ne savais pas qu’ils étaient descendus jusque là.

Toujours de belles étapes, toujours ces petites villes et leur place carrée mais qui deviennent rares ou fur et à mesure que l’on descend. La Patagonie est beaucoup plus pauvre et çà se voit.

Les parcs nationaux sont chouettes évidemment, mais pauvrement équipés : uniquement des pistes, souvent genre tôle ondulée, la voiture fatigue un peu et sa couleur d’origine (blanc je crois) n’est plus visible depuis longtemps. Les ballades à pied sont finalement peu nombreuses ou alors ce sont des treks sur plusieurs jours. Pas le temps et pas équipés pour çà.

Dommage car certains paysages sont somptueux. Mention spéciale pour l’Aconcagua, point culminant des Andes.

Nous croisons des oiseaux endémiques qui aiment l’altitude. Par contre pas vu un seul condor ! Et ce n’est pas faute d’avoir regardé.

Ouette des Andes

Ouette des Andes

Mine de rien les températures se refroidissent. On supporte désormais la petite laine les matins et soirs.

Passages rapides dans les stations de ski qui sont aussi sur la route 40. C’est nettement plus touristique, on se demande pourquoi d’ailleurs car ce n’est pas encore la saison, et puis on se croirait à Avoriaz avec les boutiques et chalets en bois.

La Patagonie devient nettement plus aride. Les étapes sont moins intéressantes mais les paysages sont parfois incroyables. Et toujours quelque chose à voir au bord de la route. Je ne savais pas qu’il y avait des autruches en Amérique du sud, des Nandous en fait : 2 espèces.

Nandou de Darwin

Nandou de Darwin

Il fait de plus en plus froid, maintenant on met les polaires le soir. C’est vrai que c’est l’automne ici.

On aurait aimé continuer plus bas mais pas le temps, trop de kilomètres. II faut maintenant retraverser pour rejoindre la côte Atlantique. On redoutait un peu la monotonie de la traversée en pleine Patagonie. Mais pas du tout. On traverse au contraire quelques-uns des plus beaux paysages que nous ayons vu : canyons multicolores, falaises érodées, etc. Presque personne sur les quelques 500 km de la route 25. A part autruches, lamas, tatous, lièvres Etc. Et les tinamous élégants. Ceux là sont trop marrants avec leur houpette et leur façon de marcher. On a toujours l’impression qu’ils vont traverser la route exprès devant nous

Tinamou élégant

Tinamou élégant

La grande étape suivante c’est la péninsule de Valdes. Incontournable. On y croise des populations de lions et d’éléphants de mer, des manchots et de nombreux autres oiseaux.

Il faut y passer 2 jours entiers au moins, et séjourner au plus près, à Puerto Piramides, le dernier village.

Il y a des sites à partir desquels on peut voir les mammifères marins et des oiseaux. Bien sur le tout est balisé. Il existe aussi des plages plus libres d’où l’on peut approcher les oiseaux de bien plus près. Il y a de quoi faire.

Il y a des orques aussi. Les adultes apprennent à leur petit comment approcher les lions de mer sur les plages pour les croquer. C’est l’attraction principale. Mais en discutant avec notre hôtelière (en anglais), ce spectacle n’est pas garanti, il est même très rarement observé finalement. Toujours est il que nous avons attendu 4 heures en pure perte dans l’attente de ce cruel mais exceptionnel spectacle.

Ce qui nous a permis de croiser tout à fait par hasard un autre français et en plus guyanais et en plus gépogien !

Bon, un peu déçus par ce manque d’assiduité et de régularité inexcusable de la part des orques. Tant mieux pour les lions de mer en tout cas.

Bref au final peut-être ne pas passer trop de temps sur ces sites et privilégier les plages ou l’on peut approcher les oiseaux.

Cormoran de Magellan

Cormoran de Magellan

Cormoran impérial

Cormoran impérial

Manchot de Magellan

Manchot de Magellan

Retour sur Buenos Aires. Au passage, à proximité de l’embouchure du Rio Negro, un autre incontournable : la visite de 70 000 couples de conures de Patagonie entassés sur une falaise de 3 ou 4 km. Un peu façon HLM, mais avec vue sur la mer et accès gratuit sur une belle plage.

Belle ballade au bord de l’eau, prévoir le casque anti-bruit si oreilles sensibles.

Un final de 3 jours à Buenos Aires qui est une belle et agréable ville, très animée. Et encore moyen de jouer les ornithos dans les parcs de la ville.

Pas eu le temps de parcourir le sud de la Patagonie, mais çà n’est que partie remise car c’est prévu pour décembre prochain.

Conures de Patagonie
Conures de Patagonie

Conures de Patagonie

27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 23:21

Et pourquoi pas un tour à Pointe-Noire ?

 

Album 2
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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 23:17

Un petit tour à Baie-Mahault en Guadeloupe, le jour de l'abolition de l'esclavage.

Album 1
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20 novembre 2014 4 20 /11 /novembre /2014 17:21
Album Armontabo
Album Armontabo
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Album Armontabo
Album Armontabo
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Album Armontabo

Album Armontabo

5 jours sur l'Armontabo

Cà faisait un moment que j’avais envie de faire çà : me faire déposer sur un Inselberg en hélicoptère et y rester quelques jours. Juste histoire de regarder les arbres d’en haut pour une fois, et puis zone reculée donc vierge, donc animaux, oiseaux etc.

Un soir à l’apéro (c’est dans ces moments là que des projets bizarres naissent, baignés dans des vapeurs saturées en pure malt ou autres blendeds) on en parle avec Bernard. On est fana tous les deux. Reste à trouver 2 autres compères pour le coté convivial et aussi pour limiter les frais car un trajet en hélico coute encore plus cher qu’un taxi parisien, c’est dire… .

C’est Juan et Stéphane qui s’y collent, toujours dans les bons coups, ce n’est pas notre première expédition ensemble.

Il faut maintenant choisir un Inselberg, je demande conseil à Olivier qui bourlingue beaucoup en Guyane dans le cadre de son métier d’ornitho. Pour lui le plus beau et le plus intéressant c’est l’Armontabo : pas très loin finalement, 70 km plein sud de Régina, entre l’Approuague et l’Oyapock. Il m’envoie dans la foulée le compte-rendu d’une mission de comptage d’oiseaux qui date de 2006 et qui nous donne une petite idée du décor. Il est en dehors du parc Amazonien ce qui simplifie les formalités.

Et nous voilà un beau jour d’octobre sur le tarmac de la société Hélicogyp qui nous loue l’hélico. Il nous a fallu aussi trouver un pilote. Décollage prévu à 14 h 30 après la pesée des bagages et des passagers. On a droit à 550 kg. Cà passe à l’aise : il faut dire qu’on avait tous déjà pesé notre paquetage.

Et c’est parti cap plein sud, on survole des endroits connus, entre autre saut Athanase sur l’Approuague. Voilà l’Armontabo : on ne peut pas trop le rater : un gros pain de sucre flanqué de 2 épaulements, forme assez caractéristique.

On monte un peu pour faire quelques photos et un peu de repérage. Avant le poser sur la savane roche qui sert de DZ, le pilote nous gratifie d’un beau renversement, j’ai eu tort de lui dire qu’il y avait 2 instructeurs ULM à bord. J’ai moyennement apprécié, Bernard pareil.

En tout cas nous voilà à pied d’œuvre et plutôt excités par l’instant et la beauté du site. Les bagages sont vite déchargés et rendez vous pris avec le pilote pour le retour dans 5 jours. On espère qu’il ne va pas nous oublier... .

On regarde ensuite l’hélico repartir et disparaitre à l’horizon. Pas trop d’angoisse cette fois, le site est trop beau.

On commence immédiatement les premiers repérages, car maintenant notre premier souci va être de trouver de l’eau. On ne trouve aucun des anciens layons. Evidemment ils ont disparu avec le temps. On taille un peu dans la forêt de transition peuplée de broméliacées et d’arbustes, mais rien pour ce soir à part un cours d’eau desséché. Evidemment c’est la saison sèche et çà se voit.

Il va falloir se résigner à bivouaquer sur place. Le problème est de trouver 2 arbres assez forts pour porter un hamac, impossible. On s’installe comme on peu. Les recherches plus intenses seront pour demain.

Le soir à l’apéro on se demande si on va vraiment trouver de l’eau à proximité. On en récupère 1 ou 2 litres qui s’écoulent d’un gros tapis d’humus sous forme de filet squelettique. C’est toujours çà. En plus Stéphane nous a fourni en boites de rations de l’armée lyophilisées : c’est con si on ne trouve pas plus d’eau… .

Et puis un gros fou rire : Bernard nous avoue qu’il a amené un masque de plongée : on ne sait jamais pour la pèche ?

Nuit réparatrice avec plein d’étoiles au dessus de nos têtes.

Le lendemain on forme 2 groupes un au sud, l’autre au nord.

Après la descente du rocher, on suit un lit de crique complètement à sec, et puis le sable devient un peu humide puis quelques flaques d’eau dormantes, enfin un petit ruisseau. Pas de quoi faire de la plongée (ouaf) mais bel endroit pour le campement et çà n’est qu’à 20 minutes de la DZ en fin de compte.

Retour sur la roche. L’équipe nord a aussi trouvé une crique, mais beaucoup plus loin. On opte donc pour le sud.

On laisse tout de même quelques affaires sur place. Notamment de quoi faire le petit déjeuner car j’ai bien l’intention de remonter tous les matins à l’aube pour observer mes copains oiseaux. Je laisse aussi le GB car je n’aurai probablement pas l’occasion de m’en servir en forêt, et puis elle est plutôt raide la descente (la remontée aussi évidemment)

Sympa de profiter enfin d’un hamac à l’ombre d’une forêt bien fraîche, c’est qu’il fait chaud en plein cagna sur le rocher, c’est infernal. L’endroit est plutôt stratégique semble t-il, pas mal de traces de mammifères, tapirs et cochons bois entre autres. J’imagine que tous les hauts de crique étant à sec beaucoup d’animaux viennent boire dans le coin. D’ailleurs un peu plus tard une biche s’avance juste entre 2 hamacs. Le temps pour mes collègues interdits de récupérer un appareil photo elle est déjà repartie, mais calmement sans hâte excessive. Le soir c’est une bande d’agamis qui rodent à proximité. Difficile de les compter dans la pénombre. Le lendemain ce sera le tour des hoccos. On n’avait encore jamais vu une telle densité d’animaux.

Tous les matins et tous les soirs je remonte là haut pour observer mes copains. Il y a beaucoup à voir et à entendre.

Les aras d’abords qui passe dans un sens le matin et reviennent le soir par groupes de 2 ou 4. Je me demande ou ils vont comme çà. Ils ont surement repéré des arbres en fruit. En tout cas ils ont l’air de franchir de grandes distances.

Les toucans à bec rouge : pas discrets ceux là, surement les plus bruyants.

Parmi les « locaux », la moucherolle hirondelle, toujours perchée pas très loin, sur un point haut : on dirait la propriétaire des lieux, elle nous supporte mais on a pas intérêt à lui abimer son rocher.

Et puis le couple de bruants chingolo. La DZ est juste à coté de leur maison semble- t-il. Le premier jour on ne les a pas vus. Mais ils ont vite compris qu’on laissait des miettes intéressantes après les repas et qu’on n’était pas des méchants alors on les voit de plus en plus souvent et de plus en plus près.

Le jour n° 3 on décide d’escalader le piton est. Dure montée entre les 2 pitons. Il y a une grotte ou 2. Peut-être y- a –t-il des coqs de roche ici. A tout hasard je fais un peu de repasse : çà réponds presque tout de suite, un seul oiseau, une femelle qui nous survole ensuite. Bonne surprise.

On continue à monter. Le sol est recouvert d’épais tapis de feuilles mortes bien coincés entre les 2 falaises. On arrive enfin en haut pour retrouver une autre savane roche de laquelle on voit la DZ en bas. Impressionnant quand même. La descente est beaucoup plus facile, on rencontre des singes atèles ou plutôt des singes atèles nous rencontrent car ils sont encore plus curieux que nous.

Le lendemain matin je suis réveillé par des feulements/grognements caractéristiques. Stéphane me demande ce que c’est : Et bien c’est monsieur jaguar, et il n’est pas bien loin : 100 mètres tout au plus. Cà dure 5 bonnes minutes et puis çà s’arrête. Je pars ensuite rejoindre mon perchoir avant qu’il ne fasse tout à fait jour. En chemin je me retourne sans arrêt pour m’assurer que notre bruyant voisin ne me suive pas.

Ce jour là un toucanet Koulik se pose juste devant moi. J’ai été obligé de reculer pour faire une photo !

J’observe aussi un pic à cou rouge. Ce n’est pas rare mais çà vit surtout en forêt et çà n’est pas si facile à observer.

Et beaucoup d’autres. Heureusement je connais maintenant quelques chants d’oiseaux ce qui me permet d’en reconnaitre quelques uns à l’oreille. Même si on ne les voit pas c’est sympa.

Le soir du jour n°4, Romain nous amène des glaçons en hélico. C’est la première fois qu’il se pose dans un endroit pareil, alors il y va prudemment. Le temps de quelques photos et l’hélico repart sur Cayenne.

C’est le jour 6, déjà. On serait bien resté un peu plus longtemps, mais il faut bien rentrer un jour. De toute façon on a plus de rhum.

Notre pilote ne nous a pas oubliés, retour en radada sur Cayenne. Avant on fait encore une fois le tour du piton, pour quelques photos, et pour dire au revoir à cet endroit incroyable.

30 octobre 2014 4 30 /10 /octobre /2014 17:23
19 mai 2014 1 19 /05 /mai /2014 20:17
Saut Takari Tante

Bon , pi j'arrive pas à mettre les photoos comme je veux, j'aurais jamais du faire une maj de ce blog, grrr!

Saut Takari Tante